Politique : Mahamat Issa Hamid lance officiellement le Parti   Démocratique de la Jeunesse et du Travail (PDJT)

Le coordonnateur du collège politique des activistes tchadiens du Canada, Mahamat Issa Hamid, vient d’annoncer officiellement la création de son parti politique dénommé Parti   Démocratique de la Jeunesse et du Travail (PDJT). Une organisation politique qui se veut un asile pour les oubliés de la République, lancée le 1ᵉʳ juillet 2024.

L’activiste tchadien résident au Canada, Mahamat Issa Hamid, entend restaurer le droit du travail, lutter contre le chômage et promouvoir la cohésion sociale. C’est dans ce sens que le Président du PDJT compte agir et mobiliser les tchadiens pour ce qu’il nomme « une cause commune ». Et ce, afin de changer bien de choses au Tchad.

« Avant toute chose, la conviction et le désir de changer les choses n’a pas d’espace ni de temps. Tout tchadien qui aspire voir son pays avancer peut s’engager en politique.  Charles De Gaulle a libéré la France aux mains des nazis en étant en exil », a indiqué Mahamat Issa Hamid, Président du PDJT.

Le jeune activiste et homme politique nous informe que la majorité des membres du parti sont présentement au Tchad et travaillent régulièrement pour le compte du PDJT. Et ce, même si lui, il est au Canada. « Au Canada, je dirige déjà le collège politique des activistes tchadiens du Canada et le comité culturel et sportif. Ces deux organisations regroupent, à elles seules, presque 400 jeunes dynamiques. Et le nombre des tchadiens du Canada est plus considérable et en politique, on ne néglige aucun tchadien », Mahamat Issa Hamid. Les activités du parti ne sont pas organisées au Canada, elles seront faites partout et plus particulièrement au Tchad, a-t-il ajouté.

Abordant la question de l’analphabétisme, le Président du PDJT indique que c’est la préoccupation majeure du Parti Démocratique de la Jeunesse et du travail.  « Nous allons tracer une large feuille de route afin de trouver les causes de ce problème.  Le manque de responsabilité de l’État ou c’est la faute des parents ?  Ainsi, nous allons traiter ce problème cas après cas afin que les politiciens de la future génération puissent trouver une audience intellectuelle ».

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