Pour que chaque enfant puisse jouir de tous ses droits, le Tchad, à l’instar des autres pays du monde, a célébré la journée mondiale de l’enfance, le 20 novembre 2023. Une journée qui s’inscrit dans la droite ligne de la convention relative à la défense et au respect des droits des enfants.
Avec pour thème « les droits de l’enfant et le changement climatique », cette 34ᵉ édition est une occasion pour les organisations œuvrant pour la protection et la défense des droits des enfants, de revenir sur les risques climatiques auxquels sont exposés les populations et surtout celles jeunes.
Pendant que les enfants sous d’autres cieux célèbrent la joie, l’innocence, le rêve, ceux du Tchad vivent une situation peu plaisante. De l’éducation en passant par la santé mentale, la malnutrition, le travail des enfantsq, la discrimination, l’injustice sociale, les violences, les rêves de ces enfants sont enfouis aussi loin qu’ils n’espèrent les déterrer.
Alors qu’à l’est du pays, des millions d’enfants ont enterré leur rêve dans les camps de réfugiés loin des salles de classe, ceux qui, ayant eu la chance d’être scolarisés, sont très vites refroidis par les grèves sèches dont souffre le système éducatif tchadien.
De plus, ils sont loin d’être ignorés, ces milliers d’enfants, souffrant de la malnutrition, qui se battent pour survivre. Pourtant, chaque enfant a le droit de grandir dans un environnement sûr et aimant. Ils méritent tous un avenir brillant.