L’Algérie a défendu lundi, 14 avril 2025, sa décision « souveraine » d’expulser 12 agents français, en faisant porter au ministre français de l’Intérieur Bruno Retailleau « la responsabilité entière » de ce regain de tensions entre Alger et Paris.
Dans un communiqué, le ministère algérien des Affaires étrangères a confirmé que ces 12 personnes avaient été déclarées persona non grata en réponse à l’arrestation en France d’un agent consulaire algérien, un « acte indigne » qui est « la conséquence de l’attitude négative, affligeante et constante du ministre de l’Intérieur français vis-à-vis de l’Algérie », a-t-il ajouté.